23.6.11

DECE-P'TITS-CONS

Pas de film, pas de scénario, que des machines qui s'explosent contre des buildings, et une bimbo, une blonde cette fois, pour remplacer la brune rebelle qui a fait défection (Megan Fox) — elle était moins conne que son prédateur/réalisateur. Le film est en 3D, mais tout le monde sait que le 3D passe mal. J'en ai eu les yeux tout explosés. Quant aux bruits (de casserole) ça n'est pas pour me faire du bien. J'attends juste le génie qui me prouvera que Transformers 3 a un rapport avec le cinéma. Traitez moi de réac, “Make my day !”, comme dirait papy Clint, qui ne vaut pas mieux que ces marchands de jouets dont l'existence se résume à gaspiller du métal et du pétrole. Explosez-vous en chœur, moi je retourne lire Les Confessions : Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur.…”. Pas exactement le genre de chose que
pourrait déclarer le brave Michael Bay, parfait manufacturier sans âme, dont les films m'ont toujours atterré (Armageddon, gros sabots, Pearl Harbor, dans l'eau), sauf The Island, qui avait une certaine force d'attraction mystérieuse (en partie grâce aux acteurs). P.S. Il déjà y a tout dans les trois bandes annonces. Pourquoi se déplacer ?

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