Apparemment, Brandon Cronenberg, fils de…, réaliserait son premier long intitulé Antiviral. Ça fait penser à la fille de Lynch copiant son père avec son navet sur une femme-tronc (Boxing Helena), puis avec son sous Sailor et Lula (Surveillance). Après vérification je m'aperçois que les Cronenberg sont un peu les Coppola canadiens : chez eux tout le monde est dans le cinoche (y compris la sœur du maestro, Denise, qui est sa costumière attitrée, et son épouse qui tourne des making of). On n'en a pas fini…
P.S. Je ne sais pas si blogger a changé la typo, mais je n'arrive plus à obtenir la taille des lettres d'avant. Il serait temps de muer…
Je me suis laissée prendre par le sens des mots dits. Il n'empêche que c'est un bon film qui s'est transformé je ne sais trop comment dans mon imagination, en un opéra rock où la musique contemporaine, à partir de la complainte de Tô, s'est chargée d'un lyrisme absolument pas soupçonnable. Je me suis dit que Muinski avait réussi à tuer quelque chose en lui, un peu comme la lumière l'ombre ou le contraire.
RépondreSupprimerJe vois que j'ai des lecteurs inspirés. Mais ne vous êtes vous pas trompée de ligne ?
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