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Adieu Falkenberg de Jesper Ganslandt
Policier adjectif de Corneliu Porumboiu
Amer de Bruno Forzani et Hélène Cattet
The rebirth de Masahiro Kobayashi
La pivellina de Tizza Covi et Rainer Frimmel
La bocca del lupo de Pietro Marcello
Lola de Brillante Mendoza
Alamar de Pedro Gonzalez-Rubio
Le plein pays d’Antoine Boutet
Oncle Boonmee de Apichatpong Weerasethakul
Chouga de Darejan Omirbaev
Le dernier été de la Boyita de Julia Solomonoff
Lenny and the kids de Joshua Safdie
Splice de Vincenzo Natali
Crime de Vincent Ostria
Cabeza de vaca de Nicholas Echevarria (ajout tardif)
Below sea level de Gianfranco Rosi — uniquement vu en festival et à la télé
il a osé mettre son film !!!
RépondreSupprimerOui ! Mon film, s'il n'est évidemment pas un chef d'œuvre, est le genre qui manque le plus en France. C'est pour cela que je l'ai cité, et puis parce que personne ou presque ne le citera.
RépondreSupprimerLedit Cédric me traite d'idiot. Au sens dostoïevskien, je présume… Je répète que je cite mon film pour que, finalement, il existe un tout petit peu plus. C'est tout. Quant à Cédric, il peut faire un film, mais je ne sais pas si je l'aimerai.
RépondreSupprimerJe répète que j'ai aussi dit que tu étais touchant. Tu vas me censurer longtemps ?
RépondreSupprimerCes choix me font un peu mal en ce qu'ils rejoignent mes choix cinématographiques (sur les 15 films, j'en avais sélectionné 6 à ne pas manquer et que je n'ai pas vus) et mettent en lumière la désertification de ma vie cinéphilique (qu'est-ce que je rate !). Comment y font les autres ?
RépondreSupprimerMichel
Moi c'est normal, c'est mon boulot. Les autres, je suppose qu'ils sont soit étudiants, soit ils réduisent leur temps de sommeil et leurs économies. Il y a toujours moyen de rattraper les films a posteriori (télé, DVD, internet). Le plus dur à voir sera le mien, Crime (qui a cependant bien dû être piraté quelque part).
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