4.7.11

CAHIERS

Ça m'a titillé toutes ces histoires de Cahiers du cinéma. Il faudra que j'en dise quelque chose. Et je peux en dire des choses… A suivre.

2 commentaires:

  1. Oui dites en plus s'il vous plaît !
    Parlez de votre avis sur le dernier numéro et de la politique actuelle des cahiers.

    Lorsqu'ils défendent de façon absurde le dernier Malick, son plus mauvais, tout en prenant soin de souligner que les anciens "cahiers" n'avaient pas assez défendus les Malicks passés, qui eux étaient bons.

    Les cahiers de la récup' ou l'art du faux contre-pied et de la Sainte famille. Où l'on défend une réalisatrice aussi insipide que Mia Hansen l0ve pour son troisiéme film. La réal' "faite maison" avec de vrais morceaux d'auteurs dedans, sans conservateur - mais du conservatisme.
    Cinéma vieux, cinéma mort-né. Ni fait ni à faire, de toute façon pas vu. Et si vu qui voit ces films ?

    Cinéaste de l'éphémère / Spectateurs du vide

    André Bazin s'intéressait sur "Citizen Kane" du traitement de l'infiniment grand et de l'infiniment petit.
    A présent "Les cahiers" s'approprient comme ils peuvent le Cinéaste du Néant et la cinéaste du vide

    X.

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  2. Bonjour, Je n'aime pas les messages anonymes. Vous pouvez vous inventer un pseudo, je préfère.
    Par ailleurs je suis assez d'accord avec ce que vous écrivez et avec vos goûts. Mia Hansen Love, je n'ai vu que son premier film, qui m'a horrifié et Terrence Malick j'ai toujours eu des doutes (je n'ai toujours pas vu the Tree of Life). Je reviendrai sur les Cahiers en général bientôt. Evidemment ce ne sera pas pour faire le "procès des Cahiers", mais pour évoquer certains aspects…

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