13.11.10

PIALAT FOR NEVER

Ceux qui citent Pialat comme modèle me hérissent. Nouvel exemple : Belle Epine de Rebecca Zlotowski, qui voue un culte à ce cinéaste télévisuel. Je suis bien content de ne pas l'avoir vu. La bande annonce m'a largement suffi. Ce type de méli-mélo psychologico-social est ce qui m'écœure le plus. La fausseté à l'état pur. La seule chose que j'aurais aimé savoir, c'est si Belle Epine se réfère au centre commercial où j'allais parfois dans ma prime jeunesse dans la banlieue sud. J'aimais beaucoup cet endroit (le premier mall que j'ai connu). J'y ai travaillé un peu chez un marchand de journaux à 15-16 ans. J'y ai vu plusieurs films, dont, me semble-t-il Les diamants sont éternels que j'avais adoré… Shirley Bassey…

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