24.11.10

ON DIRAIT LE SUD…

C'est sûrement là où ça se passe. En tout cas les Mexicos ne se prennent pas la tête (avec les commissions) et filment comme ils peuvent, comme ils veulent, dans le tas, sans réfléchir. C'est beau, c'est immédiat, c'est jeune, c'est frais, ça s'appelle Alamar. Merci Pedro Gonzalez-Rubio. Il a compris que le cinéma n'est pas un forum de discussion, mais un sas, une ouverture, un tremplin. On respire…

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