29.5.12

AWOLNATION

J'écris ce mot en écoutant par hasard sur ma radio préférée, Radio Off, un morceau d'un groupe nommé Awolnation — intéressante synthèse entre Beatles et rap (Dieu sait que je n'aime pas le rap pourtant). Tout ça pour dire que j'hésite entre trois différents nouveaux blogs : un consacré à la musique, évidemment, l'autre plus philosophico-politique, et un dernier sur l'élaboration de mon projet de film XIXe siècle (recherches, repérages, documents). A suivre.

3 commentaires:

  1. En tant que cybernaute zappeur et déconcentré, un blog sur l'élaboration d'un projet captiverait beaucoup plus mon attention. C'est tellement rare et pourtant fascinant de pouvoir suivre la création d'un projet de tournage (et pas juste le making of façon tout le monde s'est bien amusé le film sera chouette)

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  2. En fait j'ai quelque part le “Journal d'un Crime”, le journal de la préparation (et moins du tournage, pas le temps) de mon premier et peut-être dernier film, Crime. Je n'ose pas tellement le publier parce que c'est exactement le contraire de ce que vous présentez comme le cliché idyllique : ratages, approximations et engueulades à tous les étages. Ça n'a pas empêché que le film se fasse, mais ce fut hard. La faute à quoi ? A l'impréparation, au manque d'argent et d'organisation. Je suis fautif autant que les autres. Disons que je n'ai jamais eu un esprit très pratique. Bon, je vais peut-être choisir votre option. Disons que je ne le ferai que si le projet se concrétise. Je ne me vois pas parler en long et en large d'une hypothèse…

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  3. Le cinéma a montré de nombreuses fois que les projets chaotiques étaient les plus intéressants, si bien qu'on pouvait même en faire des films (peut importe si le résultat du tournage fut bon ou pas). Un mauvais tournage est souvent passionnant pour le cinéphile averti, parce qu'il montre généralement en profondeur les vrais coulisses d'un tournage, les pièges tacites ou incalculables. De plus pour certains (dont je fais parti) voir le film résultant du tournage avec en tête les obstacle qui l'ont parcourus ajoute une autre dimension au film (mais d'autres gens détestent.)

    Après ça ne donne pas toujours une bonne image des gens qui ont pu travailler sur le film (ni sur le film lui même), il faut toujours prendre en compte que le recul qu'on a dans le making of, les gens ne l'avaient pas au moment du tournage.

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